Four à Pizza bois: Évaluation des modèles les plus en vogue en 2024
A l’image d’un modèle traditionnel, le four à pizza bois conserve une énorme côte, à travers toutes les générations. De sorte que l’odeur du feu de bois, telle une madeleine de Proust, ravive nos doux souvenirs d’enfance. Jusqu’à présent, de nombreux amateurs comme vous, optent pour une reproduction authentique de cette spécialité napolitaine.
Que vous soyez un particulier ou un professionnel, il existe des équipements adaptés pour tous. De nos jours, vous pouvez rapidement concrétiser votre rêve, avec un appareil installé dans votre jardin ou dans votre cuisine. Pour cette justification, notre engagement est de vous consacrer exclusivement un guide complet des fours à pizza bois.
Liste des N fours à pizza bois les plus performants en 2024
Pour le moment, le classement est en cours d’élaboration, au sein de la rédaction. Nous nous empressons de vous communiquer les meilleurs produits au plus vite !
Quel est le budget pour un four à pizza à bois ?
Avant tout, nous vous conseillons vivement de comparer les tarifs et les propriétés des exemplaires, pour dénicher votre perle rare.
En toute honnêteté, ces catégories de four ne sont pas les moins chères qui existent, par rapport aux électriques. Néanmoins, sa stabilité et son apport unique via une cuisson aux saveurs forestières, défient l’ensemble de la concurrence sur le marché.
Leurs valeurs se définissent selon plusieurs critères, tels que la taille, les matériaux, le fabricant et la qualité de construction. Les premiers prix débutent de 200 à 500 euros, ayant souvent une structure à base d’acier inoxydable, tel que le “Roccbox” de Gozney. Pour les prototypes haut de gamme et sur mesure avec la plupart en pierre, le montant peut largement dépasser 1 000 euros.
Au sujet des gammes de produits experts, les variations grimpent de 1 000 à plus de 10 000 euros, en fonction des options incluses. En complément des caractéristiques standard, un coût conséquent se justifie par un gain de temps considérable, grâce aux cuissons simultanées. Puis, si vous recherchez des formats ou des fonctionnalités personnalisés, la valeur est en état d’augmenter en conséquence.
Toutefois, n’oubliez pas les coûts annexes entre l’installation, entretien, taxes et frais de transport potentiels lors de l’estimation.
Comment un four à pizza bois est-il construit ?
A l’instar de cette question, ce type de matériel utilise spécifiquement le bois, en tant que source de matière première. A cet égard, leur composition contient principalement une chambre de cuisson circulaire, avec une sole en matériau réfractaire. Dans le but de distribuer uniformément la chaleur, les pionniers ont conçu les premières constructions ayant une forme sphérique. C’est la raison pour laquelle, nous pouvons obtenir des gradations très hautes, situées habituellement aux alentours de 450 degrés Celsius.
Le four à pizza dispose aussi un foyer, auquel les morceaux de bûches sont déposés et allumés. Il se situe généralement à l’intérieur, sur un côté ou à l’arrière de l’équipement. Son objectif consiste à mieux réguler la répartition thermique, ainsi que la quantité de combustible nécessaire, pour assurer la finition. D’après son positionnement et de sa taille, plus la capacité devient large, la transmission d’air chaud sera davantage conséquente. Ne pas confondre avec le sol du four, constitué couramment de matériaux réfractaires, auquel la pizza repose pendant qu’elle cuit.
Au-dessus, une cheminée a pour rôle d’évacuer la fumée au moment de la combustion. Elle assure une homogénéisation optimale de la flamme, et maintient le produit suffisamment élevé et régulier, pour un four. La porte d’entrée contrôle l’accès du débit d’aération extérieur vers la zone de préparation, pour ces mêmes raisons. Ces éléments combinés contribuent à un environnement favorable dans la création parfaite du plat culinaire. Ils apportent une ardeur élevée et uniforme, y compris un chauffage rapide et savoureux des garnitures avec une croûte croustillante.
Quel bois adapté pour un four à pizza ?
Pour commencer, il est indispensable de sélectionner un matériau résistant aux flammes durablement et une production intensive de chaleur. Il doit être 100% naturel, avec une ressource bien séché pendant au minimum 6 mois, afin d’assurer un brûlage efficace. Cependant, l’humidité dégrade la performance du four, car la présence d’eau diminue considérablement le maintien de la flamme. Il est donc préférable de garder le stock dans un abri ambiant et sécurisé, pour empêcher une éventuelle absorption.
D’ailleurs, les matières contaminées par des insectes, moisissures ou pesticides doivent être absolument évitées, tout comme les éléments transformés. Les composants chimiques et nuisibles peuvent intoxiquer vos garnitures et détériorer le four, par la combustion. Il est également déconseillé de prendre une matière résineux, dont les sapins ou les pins. A cause d’une couche importante de résine, votre appareil peut être encrassé plus rapidement et provoquer une odeur désagréable.
Ainsi, il existe plusieurs types de bois qui sont éminemment en harmonie à un four à pizza:
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Bois d’érable
Ce type de bois dur a une réputation pour son large épaisseur et sa robustesse sur le long terme. Du fait de sa diversité décorative, il est assiduement appliqué pour fabriquer des panneaux, instruments de musique ou des meubles. Au Canada, nous trouvons des arbres à sucre, qui sont très célèbres pour leur production de sirop d’érable.
Cette matière apporte un développement intensif d’air chaud avec une vaporisation peu odorante, en raison de sa forte consistance. Pour ces motifs, il permet d’atteindre des températures élevées, ainsi qu’une contribution savoureuse de toutes les recettes. D’autre part, une bûche d’érable a une faible teneur en cire végétale et préserve mieux la propreté du four.
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Bois de chêne
Tout d’abord, il représente une excellente alternative pour le chauffage qui est aussi très populaire chez les utilisateurs. De même que le chêne brûle lentement et produit une combustion intense et durable. Les consommateurs l’apprécient surtout pour son imperméabilité à l’humidité et sa durabilité, avec des couleurs brunes hyper variées. Nous le retrouvons dans l’élaboration des fûts, en terme de longue conservation aromatique des boissons alcoolisées, tel que le vin. C’est une pièce couramment employée dans la conception des bâtiments, tels que les charpentes ou les planchers.
En outre, il est habituellement employé dans les fours à pizza professionnels à l’aide d’une forte résistance thermique. Ce qui justifie une meilleure aisance dans la confection des pizzas, à l’aide d’une croûte super croustillante et une garniture fondante. Puis ce composant répand un arôme naturel au moment de la mise en marche, qui ajoute une saveur originale dans les plats culinaires.
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Bois de hêtre
En troisième lieu, le hêtre est également un excellent choix qui constitue plusieurs attributs semblables au chêne. D’une part, il a une grande résistance thermique dans la pérennité, à la faveur d’une quantité majeure de braises. Puis, cette ressource propage une fumée légère, au sein de la diffusion d’une senteur supplémentaire aux mets. D’ailleurs, nous le voyons beaucoup dans la production de charbon comme combustible, pour ces raisons identiques.
Cette source énergétique expose un avantage d’être très facile à manœuvrer, au moyen de sa compacité plus modérée que ses prédécesseurs. Ce qui justifie donc sa popularité pour diverses applications avec une fabrication des outils ou des parquets.
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Bois de fruitier
Quant aux arbres fruitiers, ils proposent davantage une option intéressante, pour maintenir les degrés adéquats aux autres bûches. Par exemple, le tronc d’un pommier ou d’un oranger diffuse une odeur plus fruitée que boisée. Chez les amateurs et chefs de cuisine, ils sont particulièrement employés dans la préparation de garnitures. Tel un artiste culinaire, il parfume délicatement les aliments fumés d’arômes fruités et de nuances gustatives.
À l’instar des trois genres précédents, le fruitier comporte autant de points communs. Notamment, avec une densité fine et une combustion régulière, où il maintient un réchauffement constant et élevé dans le four. Par conséquent, il assure une cuisson uniforme des pizzas et une bonne gestion de la température en cours de fonctionnement.
Le charbon de bois est-il recommandable ?
En cas de pénurie de bois sec, vous pouvez aussi utiliser du charbon dans un four à pizza à bois. De manière générale, il est couramment utilisé pour les barbecues, afin de faciliter le démarrage de la combustion. C’est une matière première qui répartit une chaleur plus homogène avec une odeur atypique que la source d’énergie naturelle.
En outre, il est important de vérifier les instructions du constructeur, pour confirmer si les petits fragments noirs sont bien recommandables au produit. En revanche, la vapeur dégage un parfum spécialement différent que le combustible d’origine. Ce qui signifie que l’arôme provoqué peut avoir un impact sur les ingrédients, relativement à la quantité utilisée dans l’appareil. Toutefois, il est possible de mixer le bois et le charbon simultanément, afin de conserver un goût boisé.
Comment entretenir un four à pizza à bois ?
A première vue, il est fortement recommandé de nettoyer votre four, à la fin de chaque application. Un lavage régulier vous garantira une prolongation de sa longévité et une meilleure anticipation des problèmes liés à l’usure. Un défaut d’entretien peut engendrer des incendies ou une mauvaise ventilation, avec une accumulation de suie et de cendres. La nourriture peut être également contaminée suite à un manque d’hygiène de l’appareil, et notamment faire une intoxication alimentaire. De plus, vous ferez des économies sur les dépenses en matière première, avec une utilisation moindre des combustibles.
Nous avons établi un inventaire de bonnes pratiques, afin d’assurer une prise en soin plus sereine de votre exemplaire:
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Refroidissement du four à pizza bois
Avant d’effectuer toute activité de ménage, vous devez attendre que le four soit complètement refroidi. Toute manipulation avec un appareil bien chauffé augmente le pronostic pour causer un accident domestique, notamment un danger de brûlure. Puis, certains matériaux sont aptes à être endommagés, tout comme le four avec une forte ardeur.
Au niveau pratique, les débris sont plus faciles à retirer avec le froid. Les résidus sont davantages collants et super résistantes avec un constituant brûlant, et vous pourriez dégrader davantage les composants.
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Entretien de la chambre de cuisson
Une fois le four entièrement refroidi, le compartiment de cuisson doit être bien soigné, après chaque emploi du four. Tout d’abord, enlevez régulièrement la poussière du foyer, à l’appui d’une pelle et d’un récipient à cendres. Ces ustensiles se constituent exclusivement de métal ou d’acier, dus à leur résistance face aux feux et au chaud.
Puis utiliser une brosse à poils métalliques ou une raclette spécifiquement conçue, pour balayer les décombres du sol du four. Ne pas oublier de ramasser les éventuelles traces restantes, au pied du four ou près de la porte. Même avec un appareil bien refroidi, il existe toujours une probabilité de présence d’étincelles allumées parmi les restes. Quant à la sécurité, il n’est pas recommandé de déposer directement les ordures inflammables dans un sac poubelle. Enfilez aussi des gants anti-chaleur lors du nettoyage, afin d’éviter les stigmates de votre peau.
Une fois les cendres retirées, appliquez sensiblement la brosse métallique, afin d’évacuer les déchets dans les parois de la chambre. Puis prendre un outil de curetage particulier, pour enlever les dépôts de suie qui peuvent s’accumuler sur la voûte du four. En revanche, évitez à tout prix de recourir à l’eau ou aux produits détergents, pour nettoyer l’intérieur du four. Toute substance liquide ajoutée pourrait endommager les matériaux, ainsi de laisser probablement d‘empreintes d’humidité ou substances chimiques.
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Nettoyage de la porte
Comme solution de lavement, cet objet doit être lavé avec un chiffon propre légèrement humidifié, à l’eau tiède. La présence de liquide peut laisser des marques de gouttes après nettoiement, susceptibles d’endommager la surface de la porte. Prenez aussi un tissu fin et lisse pour ne pas rayer et sauver l’apparence esthétique du support pour l’ouverture.
Si vous rencontrez des tâches tenaces comme la graisse ou la suie, vous pouvez appliquer un peu de détergent. Toutefois, employer avec parcimonie des articles ménagers compatibles aux matériaux solides comme la fonte, l’acier en inox ou au carbone. Par contre, ne déversez jamais de produits chimiques agressifs ou abrasifs qui pourraient endommager la surface ou les joints. Le meilleur remède pour éliminer la saleté ou les détritus reste le lavage régulier à l’eau, après usage.
A la fin de l’entretien, essuyez l’entrée avec un torchon sec, afin de supprimer intégralement les mouillures. Si vous utilisez du détergent, rincez avec un textile propre et humide, puis séchez avec un autre linge de cuisine.
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Ramonage de la cheminée
Au minimum une fois tous les ans (ou deux pour une préparation hebdomadaire), pensez à ramoner la cheminée. Dès lors que le four fonctionne, l’évaporation de la fumée cumule progressivement les impuretés et les dépôts. Une propreté du conduit optimise la circulation de la chaleur et l’évacuation de l’air, avec une combustion optimale. Le ramonage constant prolonge la durée de vie du four, aidant à trouver l’usure et la corrosion potentielle de l’âtre. Il réduit aussi les risques d’embrasement à l’aide d’une élimination des matières bouillantes, qui se tassent graduellement.
Le réflexe prioritaire avant le démarrage, consiste à bien vous équiper en vêtements et moufles de protection. Il serait dommage d’abîmer votre belle collection de garde-robe, à cause des dépôts et des traces de suie. Pour travailler sans rayure, effectuez des mouvements alternatifs avec un hérisson de ramonage adapté à la taille de votre conduit. Assurez-vous de bien nettoyer toutes les zones tel que le conduit, les coudes et les tuyaux. Puis enlever les rebuts accumulés, avec une pelle et un seau en fer, pour les recueillir en toute sécurité.
A la fin du ramonage, veillez à ce que les morceaux de la tuyauterie restent en bon état. Si une obstruction se présente, telle que feuilles mortes ou nids d’oiseaux et de bestioles, retirez-la pour préserver votre four. Détecter tous les signaux de détérioration des composants, puis réparez ou remplacez les pièces endommagées, si nécessaire.
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Inspection des joints et des fissures
Si vous souhaitez rentabiliser votre investissement plus longtemps, il est essentiel d’inspecter constamment, si un de vos éléments se fend. Grâce à une inspection sérieuse et approfondie, vous pourrez anticiper les fuites d’air conditionnelles ou une perte de température. Un composant fendu ou un joint perméable impactent sur la résistance thermique et la qualité de fonctionnement du four. A l’échelle de la sécurité, un risque d’incendie est probable, avec un échappement des flammes.
Conformément aux points précédents, il importe que l’appareil soit déjà entretenu et refroidi avant de démarrer l’inspection. La plus-value du nettoyage au préalable vous confortera dans les meilleures dispositions, afin de remarquer plus aisément les différentes anomalies.
A propos des joints, il est crucial de vérifier leur étanchéité et leur intégrité autour de la porte, ainsi qu’à l’intérieur du four. La détection et la réparation en temps opportun des composants abîmés, évitent des contraintes importantes et coûteuses à long terme. Contrôlez aussi habituellement l’état des briques, pour repérer les signes de fêlure ou des altérations entre les blocs. Si vous identifiez des cassures, envisagez de les colmater, avec un mortier tenace à la chaleur.
Examinez minutieusement le contenu de la zone de cuisson, le socle et l’extérieur du four, en quête de dégradation. Lorsque vous remarquez des joints endommagés ou des fêlures, procédez aux réparations adéquates. Pour les opérations plus complexes ou douteuses, n’hésitez pas à solliciter les services d’un professionnel agréé.